Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover
il y a 9 ans
Attrapée par les cheveux pour être conduite à la table, Lucie prend quelques claques sur les fesses accompagnées de promesses de diffusion de photos ou de l’obliger à aller en couche en cours si elle se rebelle pour un « rien ». Prestement portée et posée sur la table, elle n’a plus qu’un choix pour l’instant, obéir. Pour essayer d’abréger son humiliation avec l’exposition de son sexe épilé offert à la vue de l’étudiant, la prof l’aide pour glisser la couche sous ses fesses, mais il la freine dans ses bonnes intentions.
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Hummmm, c’est presque dommage d’emballer ça, tu es vraiment ravissante de partout. Lance Luc en caressant l’intérieur des cuisses ouvertes. En fouinant sur www.fessestivites.com j’ai vu que les adeptes des couches mettent du talc ou des crèmes pour la peau. En as-tu ?
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Je n’ai pas de talc, mais nous pourrions peut-être arrêter là.
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Tu commences à m’ennuyer à vouloir arrêter, tu es ma soumise et le resteras le temps de mes études que cela te plaise ou non. Tu dois bien avoir des crèmes, ma sœur en avait des tonnes pour le visage, dis-moi où elles sont ou ton clitoris va souffrir ! Menace Luc en commençant à pincer le délicat bouton caché en haut des fins et petits émonctoires.
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Dans la salle de bain, il y a un gros tube blanc sur l’étagère. Répond aussitôt Lucie en repoussant les pinces tactiles.
Luc l’abandonne un instant pour aller chercher la crème, la prof cassée ne bouge plus et se désespère. Le contact du produit froid généreusement étalé sur cette partie de sa délicate anatomie lui arrache un petit gémissement et un mouvement de protection du plus bel effet. La main masculine ne loupe rien de son intimité, la petite fleur plissée entre les fesses n’est pas épargnée, cela gêne monstrueusement la prof déjà très mal à l'aise d’être vue pire que nue et tripotée par un de ses élèves. Si comme dans ses fantasmes c’était une femme qui lui fasse ça, elle fondrait de plaisir mais le fait que ce soit un homme et qui plus est un élève la perturbe au plus au point. Les doigts agiles et inquisiteurs en profitent pour caresser et visiter l’entrée de sa grotte intime sans pour autant lui faire mal.
Lorsqu’il entreprend de fermer la couche, cette mince protection est un rempart salutaire aux yeux de la prof, rempart qui va aussi verrouiller plus encore le piège infernal dans lequel elle est tombée. Luc lui intime l’ordre de ne pas bouger pendant qu’il fouille dans son sac à dos à la recherche d’un stylo pointe feutre. A même la couche, en prenant son temps comme un étudiant studieux, il écrit « Soumise de Maître Luc » en laissant le temps à la couche d’absorber l’encre noire. De son sac à dos, il sort son téléphone portable puis fait trois photos malgré les réfutations désespérées de sa prof.
- Je peux les diffuser sur le net en mettant un masque sur ton visage pour que l’on ne te reconnaisse pas, ou sans masque si la vilaine petite fille coquine ne m’écoute pas.
Horrifiée, la prof en larmes se met à le supplier, il la prend dans ses bras et la console comme si c’était sa sœur. Entre ses bras, la tête posée sur son épaule, Lucie trouve enfin un peu de chaleur humaine, instinctivement, perturbée par cette chaleur et cette douceur soudaine elle le serre dans ses bras à son tour un instant. Réalisant aussitôt l’impact de son acte et l’interprétation qu’il pourrait en faire, elle relâche aussitôt son étreinte.
- Allez ma grande, il est temps de manger quelque chose. Dit Luc en la soulevant pour déposer son gros bébé sur le sol.
La pizza surgelée passe mal pour Lucie, elle grignote sous la contrainte en écoutant horrifiée l’étudiant bavard lui parler de soumission, de SM, de choses qu’il a vu sur le net et « qu’il me fera subir » pense la prof désespérée. Elle tente de mettre un terme à la soirée en indiquant à son maître chanteur que des copies à corriger pour demain l’attendent et, chose surprenante, il accède à sa requête de la laisser tranquille pour ce soir. Il lui promet en partant de protéger son anonymat et de ne pas parler de leur « relation ». Si sa promesse de respect de l’anonymat la rassure, le mot « relation » lui glace le sang.
Chacun de leur côté, ils repassent mentalement le film de cette aventure, l’un en savourant les évènements, l’autre avec angoisse. Au plus profond d’elle-même et de sa couche sur laquelle elle passe sa main, le fait qu’il semble un peu respectueux malgré l’horrible chantage, la rassure un peu. S’il n’y avait pas cet horrible chantage, elle apprécierait presque d’avoir un complice pour réaliser ses fantasmes de soumission.
Au petit matin, après une nuit agitée faite de rêves érotiques et de cauchemars, Lucie retrouve le chemin de l’école avec l’estomac noué. A chacune des entrées de classe, elle redoute des sourires ou réflexions mais il n’en est rien. Lorsqu’elle croise Luc, hormis un « bonjour madame» rien ne filtre, ce qui la rassure un peu. Dans l’après-midi, il lui indique au détour d’un couloir qu’un message l’attend dans sa boite à lettre du lycée. Le cœur de Lucie s’emballe aussitôt mais il est trop tard pour s’y rendre, les élèves l’attendent déjà. Ce cours est un véritable enfer pour elle, se concentrer lui est impossible. Le cours terminé, Lucie s’y rend toute tremblante en regardant autour d’elle en ouvrant sa boite à lettre. L’enveloppe cachetée entre les doigts, elle regarde autour d’elle comme si elle allait commettre un méfait avant de la décacheter.
Petite coquine,
Ce soir je viendrai vers 19 heures, ne prépare rien à manger, j’apporte ce qu’il faut. Par contre, fais tes corrections ou préparations de cours par avance de façon à ce que je m’occupe de toi comme il se doit. Je veux que sur ton lit tu poses bien en évidence une couche, un collant ou tes leggins ainsi que ton vibro. Tout manquement sera sanctionné.
Ton Maître
Les larmes montent aux yeux de Lucie faisant un effort surhumain pour ne pas craquer dans la salle des profs. Ne pouvant se soustraire à ses nouvelles obligations, elle annule son rendez-vous chez le coiffeur et rentre chez elle sans tarder. En installant sur le lit ce qu’il lui a demandé, elle se maudit d’avoir fait la bêtise de se dévoiler sur le net. Son vibro qui tant de fois la conduite au plaisir n’est plus son « ami » mais son futur ennemi. Pour passer le temps, elle entreprend de corriger les copies relevées aujourd’hui, ce soir, normalement, elle était libre, quelle horreur. Lorsque la sonnette retentie, elle sursaute, sa gorge se serre. L’âme en peine, elle ouvre la porte à son Maître chanteur entrant sûr de lui avec une pizza dans ses mains et un bouquet de fleurs.
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As-tu fait tes devoirs ? Tes copies sont-elles corrigées comme demandé ?
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Oui mais, écoute cela ne peut pas durer comme ça ad vitam aeternam, je vais craquer.
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Arrête de pleurnicher, oui tu vas craquer mais pas comme tu l’entends. Va chercher la sucette que je t’ai offerte et tais-toi ou je vais sévir.
Lucie folle de rage claque la porte et le suit dans sa cuisine où il se rend pour déposer ses emplettes. Attrapée manu militari, elle se retrouve couchée sur ses genoux en un rien de temps, pour recevoir sa fessée méritée. Malgré ses tentatives de fuite et ses « non, non » furieux puis désespérés elle est déculottée et fessée. Cette fois, il n’y a pas de montée en douleur, les claques données sont sévères et appuyées. Chacune d’elle lui brule les fesses et ses coups de pieds donnés dans le vide ne servent à rien.
- Moi je t’emmène des fleurs, j’ai été discret toute la journée par respect pour toi et tu me fais un caprice, reconnais que tu la mérites celle-là. Dit Luc toujours aussi calme en claquant généreusement le fessier rougissant cette fois à vue d’œil.
Sa tentative de révolte brisée, Lucie n’a d’autre choix que de s’abandonner sur les genoux de son fesseur et espérant que cela ne dure pas trop. Le fait qu’elle se calme est aux yeux de Luc le signe de la soumission qu’il attend d’elle. Ses claques se transforment en caresses, ce qui ne plait pas pour autant à la prof, mais au moins, cela n’est pas douloureux. Mise au coin de la cuisine avec les mains sur la tête, Lucie folle de rage doit « méditer » sans bouger ni parler. Si ses élèves la voyaient ainsi avec son string sur les pieds …… Pense Luc amusé en allant préparer la suite du programme de la soirée. De loin, avec son téléphone portable il prend une photo de sa soumise puis se rend à la chambre avec son sac à dos dont il sort deux cordes prises dans le garage de son père. Lorsqu’il revient la chercher, il passe les mains sur les fesses chaudes masquées par la jupe retombée sur ces si délicieuses courbes féminines.
- Tu vas t’amuser pendant que je travaille et sûrement découvrir quelques plaisirs mais il faudra être sage ou je sévirai ! Lui dit-il à l’oreille dans un murmure complice en bandant ses yeux d’une serviette.
Conduite à la chambre et priée de s’étendre sur son lit, Lucie s’attend à être baisée et le supplie de ne pas le faire. Il la rassure en lui rappelant que cela n’est pas de ses intentions même si elle est extrêmement désirable. Lorsqu’elle prend conscience qu’il lui attache les poignets, il est trop tard pour lutter, le nœud coulant remplit sa mission. Amusé et assis sur le ventre de sa prof il attend qu’elle se calme sans rien dire.
- Ne disais-tu pas que les jeux de bondage te faisaient vibrer quand nous échangions sur le net ? Je ne fais encore une fois que ce que tu aimes, alors arrête de râler et laisse-moi t’emmener au paradis de la soumission et des cordes.
Les mains prisonnières maintenues au-dessus de la tête et sans culotte, Lucie ne s’est jamais sentie aussi vulnérable et offerte. Elle le supplie de ne pas lui faire de mal, il lui répond qu’il ne veut que lui faire du bien si elle est sage. Les mots « Lui faire du bien » font très peur à la prof surtout lorsque son maître-chanteur le lève et descend du lit. Quand il lui demande de lever les fesses pour qu’il lui mette une couche, elle abdique aussitôt sans pudeur pour qu’il mette au plus vite un rempart entre lui et son sexe. S’il met sans tarder la couche, il ne la ferme pas pour autant et la laisse un instant les jambes écartées. Convaincue qu’il va lui mettre de la crème comme la veille, Lucie reste calme lorsqu’il s’assoie entre ses jambes puis bondit dans ses liens lorsqu’elle sent quelque chose vibrer sur ses lèvres intimes.
Lentement, avec douceur, le vibromasseur suit des routes imaginaires tout autour de la vallée des plaisirs en s’attardant parfois sur le clitoris recroquevillé en son écrin. Le missile vibrant trouve le cœur de cible et s’y engage avec peine pour cause de sécheresse. Les réfutations philosophiques de la prof n’aboutissent à rien comme on peut aisément l’imaginer, contrairement au missile phallique se logeant totalement en elle. En le maintenant profondément enfoncé et sans éteindre les vibrations, Luc ferme la couche en la remontant le plus possible pour bien maintenir l’intrus parfois apprécié…. Avec le calme qui le caractérise, il se lève, serre les jambes féminines tremblantes puis avec la deuxième corde entreprend un saucissonnage maison pour assurer son bondage.
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Salaud ! Crie Lucie furieuse.
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Moi un salaud ? Tu rigoles ou quoi ? Regarde, j’ai respecté ton anonymat, je suis ultra discret, je t’apporte des fleurs et à manger pour ne pas que tu penses que je te rackette et je fais mon maximum pour que tu réalises les fantasmes que tu m’as décrits. Il y a pire comme salopard non ? A cela se rajoute que je ne t’ai pas ni contrainte à me faire des gâteries ni sautée parce que j’attends que tu me le demandes.
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Jamais cela n’arrivera, tu rêves enfoiré.
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Il ne faut jamais dire, « fontaine je ne boirai pas de ton eau ». Je vais te laisser mijoter un peu pour aller faire une disert que m’a donné une prof de philo aussi allumée que le sujet qu’elle donne à ses élèves. Reconnais quand même que « céder à la tentation, est-ce une faiblesse ou un choix médité » est tordu comme thème. Moi je céderai bien à la tentation de croquer la prof… ;
Luc l’abandonne pour se rendre au salon où il s’installe réellement pour travailler. Son côté brillant lui permet de jouer avec les mots de sa disert de philo pour faire des parallèles avec ce qu’ils vivent sans pour autant les dévoiler. De son côté, la prof qui corrigera le devoir lutte intérieurement pour ne pas céder aux agréables sensations du vibro titillant très intimement son intimité et ses fantasmes. Ses reptations pour essayer de se libérer font bouger le phallus de plastique en elle, même s’il ne peut la voir réagir, elle a honte de sentir monter en elle un plaisir qu’elle juge malsain. Une heure plus tard, à moitié endormie elle surfe mentalement sur des songes érotiques classés « secret défense » par la morale. « Alors on a joui » ?
Cette phrase prononcée près de son oreille la fait bondir et explose le délicieux songe la faisant vibrer dans sa tête et dans son corps. Sans réfléchir, elle l’envoie « chier » avec des mots cassants et vulgaires.
- J’en ai assez de tes mots pinçants, il est temps que tu apprennes à parler à ton Maître avec le respect que tu lui dois. Dit Luc en se levant prestement pour se rendre à la salle da bain pour prendre des épingles à linge sur le petit étendoir.
Lorsqu’il entreprend d’ouvrir le chemisier en satin, Lucie rage et prend peur mais quand les mains masculines entreprennent de sortir sa poitrine généreuse de leurs écrins de dentelle, elle est à cet instant convaincue qu’il va la baiser. Avec douceur, il saisit ses seins d’une incroyable tenue puis titille leurs fraises des bois roses irradiant de leur délicate turgescence au centre des aréoles légèrement plus foncées. Plutôt que d’en apprécier l’exquise délicatesse, il pose une pince à linge à chacun malgré les « non » désespérés suivis de « aie, cela fait mal » et de grimaces peu gracieuses. Elle demande, supplie qu’il les lui retire mais Luc lui explique que suite à l’avalanche de compliments vulgaires dont elle vient de le couvrir, il conviendra qu’elle lui présente ses plus plates excuses et propose quelque chose en échange de sa gentillesse.
La prof s’excuse aussitôt et propose d’excellentes notes jusqu’à la fin de l’année mais elle se fait remballer aussitôt. Luc ne demande aucun privilège scolaire, il est même presque en colère qu’elle lui propose ça. Lucie comprend qu’elle s’est fourvoyée et ne sait plus que dire car la peur éprouvée l’affecte dans ses capacités intellectuelles. Il propose qu’elle lui accorde le droit de déguster les tétons libérés pendant 3 minutes s’il retire les pinces sans quoi, elle restera ainsi jusqu’au lendemain. Cette menace pousse aussitôt la lesbienne aux tétons en rébellion à accepter l’ignoble proposition. Avec une certaine délicatesse, Luc ouvre lentement une des pinces pour se sustenter du bouton ne demandant qu’à éclore et devenir bourgeon épanouis sous ses lèvres agiles.
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L’autre s’il te plait, l’autre, j’ai trop mal. Supplie Lucie.
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Je n’ai pas fini de déguster celui-là.
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Ce n’est pas grave, tu y reviendras après.
La pauvre jeune prof lesbienne n’aurait jamais imaginé éprouver le moindre plaisir sous des lèves masculines. Les yeux fermés, elle savoure les effets de la langue et des doigts taquins jouant avec ses tétons ultras sensibles pendant que dans son intimité, fidèle à ses valeurs, le vibromasseur poursuit sans relâche son travail de sape de la retenue. Les 3 minutes négociées sont largement dépassées et oubliées. Sous le dialogue de la langue, des lèvres et dents devenues taquine Lucie prise par un embrasement de perversité, surfe sur les flux et reflux du masochisme et de la soumission. Les dents plantées dans sa lèvre inférieure, elle finit par s’abandonner au plaisir sous la contrainte puis soudain presque malgré-elle se met à crier des « oui » et des « plus forts » pour le plus grand plaisir de son Maître. En conquérant émérite de la jouissance féminine, il l’accompagne en silence dans la redescente sur le plancher des vaches en caressant simplement le pourtour des seins dont les fraises des bois rouges irradient de la plus indélicate des turgescences.
Encore dans les brumes évanescentes de la jouissance, Lucie lui murmure un « merci » avant de se rendre compte en se traitant de folle qu’elle vient de remercier son maître-chanteur. Il l’abandonne pour aller terminer sa disert malgré les demandes de libération. Lucie insiste en lui criant qu’il faut qu’elle se rende aux toilettes, elle n’obtiendra que « tu as ce qu’il faut sur toi » pour seule réponse. Les vibrations dans sa plus profonde intimité ne rendent pas la retenue aisée tout comme les reptations qui, en serrant les cuisses pour se retenir, augmente les effets du vibromasseur. Lorsque sa vessie cède, de petites contractions animent tout son corps à nouveau. Si ce n’est pas une grande jouissance c’est toutefois fort agréable s’avoue la prof en perdition dans des pensées aussi coquines que contraires.
Luc la libère une demi-heure plus tard puis l’aide à se lever. S’il accepte qu’elle retire le vibro, il refuse catégoriquement le retrait de la couche. La prof même soumise lit et commente la disert en partageant la pizza.
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Si tu veux une bonne note, il te faut reprendre quelques passages lui dit-elle avec un sourire taquin.
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Demain c’est vendredi, je te ferai vivre quelque chose de plus fort encore et je dormirai là en tout bien tout honneur rassure-toi. Je partirai samedi matin et te laisserai tranquille pour le week-end. Quand j’arriverai je veux que tu te sois douchée, en jupe courte et sans culotte ou soutien-gorge.
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Ai-je le choix ?
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On a toujours le choix « Petite coquine »
Chapitre 3
Encore une fois, la nuit de Lucie est perturbée par le duel des songes érotiques et la peur que tout cela n’aille trop loin. Au petit matin, elle se laisse aller dans la couche qu’elle a gardée pour la nuit comme demandé par Luc en se traitant de folle car si elle l’avait retirée il n’en aurait rien su.
La journée de cours semble interminable pour la prof dont l’esprit est ailleurs. Luc quant à lui, a demandé à son père un peu d’argent pour une sortie en boite avec des amis en précisant que par sécurité, il préférait dormir chez son copain plutôt que de se faire raccompagner par quelqu’un aillant consommé de l’alcool. La prudence ne pouvant que ravir son paternel, il lui donne 100 euros. Une grande partie de cette somme est utilisée dans un sex-shop pour l’achat du matériel nécessaire pour dompter la lesbienne par son point faible….. le sexe !
Vers 19 heures, Lucie est douchée et, comme demandé, nue sous son chemisier et sa jupe sage. Mentalement elle est partagée entre la peur, la colère et de troubles sentiments qu’elle a beaucoup de difficulté à analyser. "Je subis le jeu pervers d’un maître chanteur qui plus est, est un de mes élèves et mon corps semble réagir malgré moi à toute cette horreur. Soit je suis réellement maso, soit je suis folle", pense la prof de philo tout en se dédouanant par « je n’ai pas le choix ».
C’est toujours avec une certaine angoisse qu’elle ouvre la porte à son maître-chanteur vers 19 heures. A peine est-il entré, qu’il lui ordonne de baisser les yeux et d’écarter les jambes pour l’inspection. La main caresse sa cuisse et remonte sur son intimité où elle s’attarde un instant, cet attouchement d’une grande douceur génère un frémissement odieux car involontaire. Lorsque les doigts masculins entreprennent de palper délicatement la poitrine et les tétons à travers le chemisier, malgré elle, Lucie commence aussitôt à réagir. Sa respiration est courte, sa gorge se serre, les yeux fermés, elle ne peut que subir et savourer les sensations étranges l’envahissant quand il la touche.
De son sac à dos, il extrait un bandeau offert dans les avions pour permettre aux voyageurs d’occulter la lumière pour dormir. Lucie perd donc le contrôle visuel des évènements d’un côté, cela lui fait peur, d’un autre, elle n’a plus à affronter le regard de son élève.
Du même sac, Luc sort la paire de menottes achetées l’après-midi-même au sex-shop, quelques secondes plus tard, quand il les referme sur ses poignets mains dans le dos, Lucie n’a plus aucun moyen de se soustraire aux évènements.
Le calme et la sérénité de Luc, sont des atouts très puissants pour faire fondre la peur de la prof qui, bien malgré-elle et son homosexualité, n’est physiquement pas totalement insensible à ses attouchements particulièrement doux. Guidée au salon, elle doit s’agenouiller dans son canapé et se pencher en avant pour poser la tête sur un des coussins rouges. Bien qu’elle soit sage, de par la position, sa jupe dévoile le haut de ses cuisses fuselées magnifiquement dessinées par la mère nature.
Luc fait chez lui et se rend dans la cuisine pour déposer sur la table le poulet cuit acheté au marocain du coin de la rue. Il prend un coca au frigo et retourne au salon où sa victime l’attend sans bouger. La vue imprenable sur sa prof lui fait l’effet d’un coup de pied dans son caleçon. Décidé à la conquérir par le plaisir, il doit lutter avec lui-même pour prendre le temps s’il veut une soumise consentante. Du sac à dos, il sort une plume arrachée au plumeau de sa mère. Lorsque la plume entreprend l’ascension de la jambe, Lucie fait un bon puis se replace immédiatement dans la position imposée. Très sensible aux chatouilles, elle bouge sans cesse.
- Si tu bouges sans ma permission, je vais être obligé de te punir !
Lucie ne répond pas, mais ne parvient pas à rester immobile sous les effets de la plume. Luc sort le petit martinet puis soulève la jupe exposant à son regard gourmand un des plus beaux fessiers de l’éducation nationale. Les lanières du martinet s’abattent doucement sur les fesses offertes mais arrachent malgré la douceur du coup, un cri plus de surprise que de douleur.
- Je t’ai dit de ne pas bouger ! Chaque fois que tu bougeras, tu recevras un coup de martinet.
L’odieuse plume poursuit son travail de provocation, le dit fessier s’agite malgré la volonté de sa propriétaire, la valse du pire des duos commence aussitôt. L’intensité des coups de martinet augmente progressivement proportionnellement aux sensations éprouvées par la prof en perdition mentale. La honte et le plaisir se mêlent pour générer un cocktail psychologique particulièrement troublant et une certaine humidification du puits des plaisirs.
La plume titille son intimité de plus en plus émotive, le martinet flatte généreusement les délicates rondeurs offertes à ses lanières. Le jeu de ce duo infernal dure et s’intensifie et sans qu’elle ne puisse se l’expliquer, ces tourments monstrueusement honteux et de plus en plus douloureux la rapprochent des bordures du vertige. Les dents plantées dans le coussin innocent, Lucie s’abandonne totalement aux étranges sensations qui l’envahissent totalement.
Aux ondulations lascives de sa prof, Luc comprend qu’elle commence à fondre sous sa domination, un immense sentiment de bonheur submerge ce jeune dominateur aussi brillant en domination que pour ses études. En espérant ne pas briser l’état d’abandon dans lequel elle semble s’enfoncer avec plaisir, il approche son sac pour en extraire le vibromasseur acheté au sexe shop. Sans pour autant interrompre les coups de martinet, il parvient à mettre le sextoy en marche avec les dents puis de la main gauche en dirige la pointe au cœur des pétales épanouis du sexe s’offrant à lui de par la cambrure de sa propriétaire. Un gémissement dés plus charmant se fait entendre lorsqu’il entre en contact avec les lèvres trempées de désir. C’est avec une certaine aisance qu’il s’insinue dans ce puits des plaisirs.
L’image que ne peut voir le lecteur mérite une petite description. Une prof menottée, à genoux dans son canapé avec la tête plongée dans un coussin offre maintenant jupe retroussée et sans réserve son intimité et ses fesses à un de ses élèves. Les longs cheveux blonds soyeux coulent sur le coté et se balance au gré des mouvements sensuels. L’espace d’un instant, Luc hésite sur la suite du programme imaginé par son esprit tortueux. En ordonnant à Lucie de ne pas bouger, il l’abandonne un instant avec le vibromasseur dépassant de la grotte intime pour foncer au placard de la chambre pour prendre le vibro découvert lors de sa première visite.
Arrivé juste à temps avant que le vibro en place ne soit éjecté, il entreprend de se servir du second pour titiller la petite perle si sensible chez les femmes. S’abandonnant au plaisir sans aucune pudeur, Lucie totalement conquise pousse un long gémissement. Profitant de l’état d’excitation très avancé de sa prof, il extrait le petit vibro de la minette éplorée pour y placer le plus gros aussitôt générant à nouveau une plainte de louve. Son petit vibro s’appuie maintenant sur la rosette délicatement plissée et peureusement contractée. Il ne tient pas compte du « non pas là » étouffé pour entreprendre une campagne de séduction anale faite de petits mouvements lents. De la tête plongée dans le coussin plus aucunes réfutations ne viennent troubler son projet de spéléologue averti.
La délicieuse dictature de ses orifices intimes devient la source d’intenses émotions lui donnant envie de toujours plus, de plus fort, de plus « consistant ». C’est ainsi que perdant la raison et contre toute logique pour une prof lesbienne, elle lui crie « prend-moi, baise-moi, bouscule-moi, fait-moi mal ».
30 seconde plus tard, recouvert d’un préservatif un sexe masculin fier et gorgé de désir prend possession d’une minette d’une lesbienne aux aboies. Les mains menottées dans le dos, Lucie parvient à saisir celles de Luc agrippées à ses hanches. Leurs doigts semblent se marier pendant un coït de plus en plus viril, sauvage. Les cris de la prof n’ont plus rien de pédagogiques, non, ce sont quasiment des hurlements de plaisir continus qui résonnent dans le salon. Lucie n’est plus une femme, n’est plus une prof, dans une envolée lyrique de mots aussi incohérents les unes que les autres, elle n’est plus qu’un sexe affamé en quête de jouissances discontinues.
Emporté par la tourmente infernale, Luc explose à son tour, le mot « exploser » correspond pleinement aux sensations qu’il éprouve en jouissant. Couché sur le dos de sa prof, il peine à reprendre son souffle. La tête aux longs cheveux soyeux s’agite, se tourne pour essayer de happer ses lèvres. Sous une ruade il se relève, Lucie aussi pour le pousser à s’asseoir dans le canapé. Aussitôt enjambé, sa bouche est happée par celle d’une gloutonne se frottant à la verge encore tendue. Fort ému de cet élan aussi affectueux que gourmand, le Popaul, guidé d’une main agile retrouve le chemin du puits des plaisirs.
Pendant une chevauchée aussi fantastique que surprenante, la poitrine libre de tout soutien s’agitant sous les yeux de Luc est un véritable appel pour les mains. Les boutons du chemisier rapidement défaits, les deux magnifiques obus sont happés, choyés, pincés, dégustés pendant les ruades féminines. Elle le traite d’enfoiré et bien d’autres mots tout aussi sympathiques sans qu’il n’en prenne ombrage. En son ventre la tempête fait rage jusqu’au moment où prise de convulsions orgasmiques titanesques elle implose et se laisse tomber vide de toutes énergie. Rattrapée in extrémis par Luc, à bout de souffle elle s’écroule contre son torse. Quelques instants plus tard, lèvres et langues se lancent dans une sarabande trop intime pour être décrite.
……………………..
Si au départ Lucie s’est faite piéger par un abominable chantage, outre les jouissifs rapports de contraintes, les sensations éprouvées cette nuit là en se réveillant son amant maître chanteur la perturbent. Réveillée par des songes érotiques inavouables, elle médite longuement en savourant la douceur et la chaleur de son corps. Certes, elle vient de vivre beaucoup de choses sous la contrainte, mais en même temps, s’il ne l’avait pas contrainte, elle n’aurait jamais osé vivre et partager ses fantasmes.
Au petit matin, la lumière filtrant à travers les volets lui permet de regarder le corps superbe de l’homme qui la faite jouir comme jamais. Le drap témoin de leurs folies charnelles est tombé comme pour le dévoiler à ses yeux. Outre le fait qu’il soit un bon amant, sa tendresse, son calme et son respect la perturbent tout comme son sexe au repos dont ses yeux n’arrivent pas à se détacher. Cette belle verge l’obnubile, l’envie grandissante de la voir se déployer et de la toucher titille les neurones de « petite coquine ».
L’envie devenant plus forte que le sentiment de honte, Lucie glisse doucement dans le lit pour s’approcher de la partie de son anatomie attisant sa convoitise. Avec une extrême lenteur, ses lèvres happent le sexe. Les yeux fermés, elle en apprécie la douceur de la peau, son nez proche du pubis lui rapporte l’odeur poivrée du mâle qui se parfume même le sexe lorsqu’il sort de sa douche. Emportée par les sensations, elle en gémit en fondant de plaisir. La tête chaude et comme enivrée, Lucie prend de l’assurance en faisant ce qu’elle a toujours trouvé irrespectueux, la pipe du matin à un mec.
Etre sexuellement dominée a balayé ses principes de féministe, la verge entre ses lèvres devenant dure comme l’acier l’excite au plus haut point comme ce magnifique gland autour duquel sa langue gourmande contourne lentement. Eveillé, Luc ne bouge pas d’un pouce pour ne pas briser le charme de cet instant magique où une femme prise de sentiment s’envoute. Mue par une envie incommensurable, elle abandonne le sexe fier pour enjamber son amant. La tête chaude comme si elle avait de la fièvre, d’une main elle guide la verge pour s’en caresser le sexe un instant avant de le guider en elle. Un sentiment de plénitude et de bonheur la submerge lorsqu’elle s’assoie progressivement sur lui.
Lentement, Lucie se met à onduler comme pour le faire entrer toujours plus loin, toujours plus profond. Lorsque de paires de pinces digitales se mettent à titiller ses tétons, un spasme de plaisir la fait bondir. Sans ouvrir les yeux comme pour utiliser la ressource de ce sens pour mieux le sentir, elle entreprend de plus amples mouvements. Tel un aimant, son clitoris attire ses doigts fins magnifiquement manucurés. Sa respiration devient progressivement bruyante, ses mouvements plus rapides et désordonnés. Soudain, tout son corps se bloque quelques secondes, en apnée, bouche grande ouverte elle attend la vague balayant tout sur son passage. Emportée par la jouissance elle s’écroule sur Luc qu’elle serre dans ses bras comme une folle en le mangeant de baisers fougueux.
L’instant magique de la fusion passé, il la retourne doucement. Les jambes levées jusqu’au dessus de la tête, Lucie s’offre au Priape ardent. Quand dans sa quête du plaisir il saisit ses poignets et se lance dans une chevauchée fantastique presque bestiale, jamais Lucie n’a été aussi soumise au plaisir. Ses râles démesurés témoignent de l’intensité des sensations éprouvées, tout en conduisant son amant trop heureux au plaisir.
- Reste-en moi, viens-en moi ! hurle Lucie emportée par une paroxystique jouissance.
Enfoncé jusqu’a la garde lorsqu’il s’arrête pour jouir, en le recevant en elle, Lucie s’offre à son amant et Maître qu’elle enlace fortement dans ses bras. Quelques minutes et baisers chauds plus tard, la prof se traite de folle tout en se disant que cette folie est si bonne qu’elle n’a pas de raison d’y résister.
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